Labauve d’Arifat
à Castres
De gueules au chevron d’or accompagné en chef de deux besants et en pointe d’une mâcle, le tout aussi d’or
Labauve d’Arifat
à Castres
De gueules au chevron d’or accompagné en chef de deux besants et en pointe d’une mâcle, le tout aussi d’or
Clermont d’Amboise de Gallerande et de Reynel
en Maine et en Anjou

Écartelé : d’azur à trois chevrons, celui du chef brisé, d’or, qui est Clermont, et palé d’or et de gueules, qui est Amboise
Chazal de La Roffin et de La Vaubertrand
en Forez
D’azur au sautoir d’or cantonné en pointe d’un croissant du même
Pitot de La Beaujardière
à Saint-Malo, originaire de Normandie
De gueules à un un gerfaut (alias : épervier) d’argent soutenu d’un dextrochère mouvant du flanc de l’écu, paré et ganté du même
Clérembault du Palluau
en Anjou
Burelé d’argent et de sable, à la bande de gueules brochant
de Clerc de la Devèze
en Languedoc
D’azur au chevron d’or chargé de trois tourteaux de gueules et accompagné de trois pommes de pin d’or
Découverte en 1598 par les Hollandais, cette île de l’Océan Indien fut nommée Mauritius en l’honneur du stathouder Maurice Van Nassau. Délaissée, l’île devint française lorsque, en septembre 1715, Guillaume Dufresne d’Arsel prit possession de ce port d’attache situé sur la route des Indes. Dès 1721, des Français s’y établirent et mirent en valeur la colonie rebaptisée « Isle de France ». Cédée aux Anglais par le Traité de Paris de 1814, elle reprit son nom d’origine. Mais l’accord signé garantissait le respect de la langue, des lois et des traditions des habitants français.
Cette série illustre les armes des familles françaises qui firent souche ou marquèrent l’histoire de l’île.
La source principale est le Nobiliaire de l’ancienne Isle de France, 1918, de René Le Juge de Ségrais, académicien, membre de la Commission héraldique de la Seine.
Claris de Perdiguier
en Languedoc, originaire de l’Albigeois
D’or à l’aigle (alias : essorante) de sable (regardant) le chef d’azur chargé d’un soleil d’or