Louvencourt de Pierrecluet  et de Saulchoy
à Amiens

D’azur à la fasce d’argent (alias : d’or) chargée de trois merlettes de sable et accompagnée de trois croissants d’argent (alias : d’or)

Pinart de Comblisy de Cramailles et de Louvois
à Blois

De gueules à trois pommes de pin versées d’or surmontées d’un lion léopardé du même

Gallery de La Grange et de La Tremblaye
en Normandie

De gueules à une épée d’argent garnie d’or accostée de deux croix patriarcales du même

Le Pelletier de Morandé
en Normandie

D’azur à trois losanges d’argent, au chef du même chargé de trois roses de gueules

des Champs de Boishébert
en Normandie

D’argent à trois perroquets passant la tête contournée de sinople, becqués et membrés (alias : onglés) de gueules

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Le Gouz de Vellepesle
en Bourgogne

De gueules à la croix dentelée d’or cantonnée de quatre fers de lance d’argent

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Rogon de Carcadec
en Bretagne

D’azur à trois roquets d’or

Bailleul
en Normandie

MENS AGITAT MOLEM

D’or à la fasce ondée de sable accompagnée de trois cloches d’azur

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Lignières
en Berry

D’or au chef de vair, au lion de gueules (couronné d’or) brochant

Contreforts méridionaux du Jura, les monts du Bugey ont pour frontières naturelles à l’ouest la rivière d’Ain, à l’est et au sud le Rhône.

Le Bugey fut longtemps disputé entre l’Empire, la Savoie et le Dauphiné, avant d’être rattaché à la France par le traité de Lyon en 1601.

Les influences de ses puissants voisins y sont nombreuses et les noms et les armoiries reflètent cette riche histoire.

En 1872 l’ouvrage d’Edmond Réverend du Mesnil, reprenant et complétant le travail de l’historiographe du roi Samuel Guichenon, qui avait publié en 1650 une Histoire de la Bresse et du Bugey, dressait l’armorial des pays qui forment aujourd’hui le département de l’Ain; les familles bugistes sont illustrées ici.